Élever un enfant coûte cher, et l’habillement est loin d’être un poste anecdotique : au fil des années, les dépenses associées aux vêtements s’accumulent, que ce soit pour suivre la croissance, renouveler les tenues ou suivre des envies de marque. Comprendre ces chiffres, c’est aussi mieux voir pourquoi un service de revente ou de seconde main peut représenter une vraie solution pour alléger le budget tout en restant responsable.
Selon une étude de Cofidis (réalisée avec CSA), les parents déclarent qu’en moyenne 1 452 € par an sont consacrés aux “dépenses liées à l’arrivée d’un enfant”, ce qui inclut puériculture, mobilier et bien sûr, les vêtements. Ce montant peut paraître élevé, mais il reflète une réalité : habiller un enfant, surtout dans les premières années, demande un budget non négligeable.
Plusieurs enquêtes soulignent que l’habillement figure parmi les premiers postes de dépense dès la petite enfance. On estime qu’au début de la vie d’un enfant, les parents peuvent dépenser entre 60 et 100 € par mois rien que pour les vêtements, selon leur catégorie de revenus et leurs priorités.
Un autre repère : d’après Le Figaro, 40 % des familles déclarent consacrer environ 800 € par an et par enfant uniquement à des dépenses “hors alimentation” (loisirs, habillement, équipements). Cela montre que pour beaucoup, les vêtements et chaussures ne sont pas un luxe ponctuel, mais un coût régulier.
Par ailleurs, dans un contexte économique tendu, de nombreux parents disent se restreindre sur le budget habillement. Une enquête CSA / Cofidis de 2023 révèle que 65 % des parents envisagent de réduire leurs dépenses liées aux vêtements de leurs enfants, notamment à cause de l’inflation. Cette tendance renforce l’intérêt pour des solutions plus durables, comme la seconde main ou le recyclage.
L’impact psychologique est réel : près de la moitié des parents interrogés dans l’étude de Cofidis affirment que les dépenses “éducation / habillement / équipement” pèsent fortement dans leur budget. Les arbitrages sont permanents : faut-il acheter du neuf, investir dans des pièces durables, ou revendre ce qu’on n’utilise plus ?
En plus du coût financier, il y a un coût logistique : trier, stocker, revendre. C’est précisément là que les services de seconde main ou de revente gérée apportent une vraie valeur ajoutée. Ils libèrent non seulement de l’argent, mais aussi du temps et de l’énergie mentale.
En résumé, l’habillement des enfants représente une part significative du budget familial : plusieurs centaines à plus d’un millier d’euros par an selon les familles. Pour beaucoup, adopter des stratégies de revente, de réutilisation ou d’upcycling n’est pas seulement un choix écologique : c’est une réponse intelligente à une dépense structurante du quotidien.
